Impassepour la famille de Yony. Cet Ă©lĂšve dys doit faire sa rentrĂ©e en CM1 mais la MDPH 62 lui refuse une AVS alors que l'Ă©cole et 2 mĂ©decins attestent de ses troubles. Ce sont donc 5 parents qui se relayeront sur les bancs de l'Ă©cole. 29 aoĂ»t 2017 ‱
En cas de contestation, par la personne handicapĂ©e ou son reprĂ©sentant lĂ©gal, de la dĂ©cision de la CDAPH dĂ©signant les Ă©tablissements ou services adaptĂ©s Ă  ses besoins, l'orientation en cours continue de s'appliquer, le temps que les juges statuent sur le recours. A dĂ©faut de maintien de la prise en charge, la structure d'accueil commet une faute engageant sa responsabilitĂ©. C’est une solution qui soulagera les parents d’enfants handicapĂ©s que vient de rendre la Cour de cassation dans un arrĂȘt important du 19 janvier 2017 destinĂ© Ă  ĂȘtre publiĂ© au Bulletin des arrĂȘts des chambres civiles, ainsi qu’au Bulletin d’information de la Cour de cassation. Droit public Le droit public se dĂ©finit comme la branche du droit s'intĂ©ressant au fonctionnement et Ă  l’organisation de l’Etat droit constitutionnel notamment, de l’administration droit administratif, des personnes morales de droit public mais aussi, aux rapports entretenus entre ces derniers et les personnes privĂ©es. DĂ©couvrir tous les contenus liĂ©s En substance, pour la Haute juridiction, lorsque les parents d’un enfant handicapĂ© accueilli dans un Ă©tablissement ou service mĂ©dico-social ESMS en vertu d’une premiĂšre dĂ©cision de la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH contestent une seconde dĂ©cision de cette instance devant le tribunal du contentieux de l'incapacitĂ© TCI, l’orientation actuelle doit ĂȘtre maintenue, le temps que le juge statue. Ce qui Ă©vite ainsi les ruptures de parcours des intĂ©ressĂ©s. En consĂ©quence, si la structure initialement dĂ©signĂ©e met fin Ă  la prise en charge de l’enfant et refuse, comme en l’espĂšce, de le rĂ©intĂ©grer, elle commet une faute de nature Ă  engager sa responsabilitĂ© civile. L'affaire concernait un enfant, mais la solution est gĂ©nĂ©ralisable Ă  l'ensemble des personnes handicapĂ©es contestant une dĂ©cision d'orientation de la CDAPH. L'arrĂȘt a Ă©tĂ© saluĂ© par DaniĂšle Langloys, PrĂ©sidente de Autisme France, BĂ©nĂ©dicte Kail, conseillĂšre nationale "enfance - familles" de l’Association des paralysĂ©s de France APF, ainsi que par l'UNAPEI. Le maintien de la prise en charge en cours Ainsi que le relĂšve d’entrĂ©e de jeu la Cour de cassation, en application de l’article L. 241-9 du code de l’action sociale et des familles CASF, les recours formĂ©s contre les dĂ©cisions de la CDAPH ont un effet suspensif lorsqu’ils sont intentĂ©s par la personne handicapĂ©e ou son reprĂ©sentant lĂ©gal Ă  l’encontre des dĂ©cisions relatives Ă  la dĂ©signation des Ă©tablissements et services correspondant aux besoins de l’enfant ou de l’adolescent, ou concourant Ă  la rééducation, Ă  l'Ă©ducation, au reclassement et Ă  l'accueil de l'adulte handicapĂ©, et qui sont en mesure de l’accueillir. Mais que recouvre cette notion "d’effet suspensif" ? Elle signifie, d’une part, que la dĂ©cision litigieuse ne peut pas ĂȘtre exĂ©cutĂ©e. Comme le souligne DaniĂšle Langloys, la contestation de la dĂ©cision constitue le seul moyen dont disposent les parents pour bloquer une orientation de la CDAPH, soit parce qu’elle ne leur semble pas adaptĂ©e, soit parce qu'il n’y a aucune offre disponible. D’autre part, et c’est lĂ  tout l’intĂ©rĂȘt de l’arrĂȘt du 19 janvier, ce caractĂšre suspensif implique que la dĂ©cision d’orientation en ESMS prĂ©cĂ©dente continue Ă  s’appliquer, le temps que le juge statue sur le recours. Une position qui, apparemment, ne coulait pas de source pour tout le monde... L’établissement ou service prĂ©cĂ©demment dĂ©signĂ© doit donc continuer Ă  prendre en charge l’enfant ou l'adulte et ce, mĂȘme si la premiĂšre dĂ©cision a Ă©tĂ© prise pour une pĂ©riode dĂ©finie et que l’échĂ©ance est passĂ©e. Ce qui Ă©tait le cas en l’espĂšce. Cette solution permet "de prĂ©server ce que les parents ont dĂ©jĂ  mis en Ɠuvre et de ne pas dĂ©clencher de rupture de parcours", note DaniĂšle Langloys. Rupture malheureusement subie dans l'affaire en cause par l'enfant handicapĂ©e, dĂ©scolarisĂ©e pendant 2 ans. Le tribunal de grande instance TGI de Dijon a, en octobre 2015, fait la mĂȘme analyse de l'effet suspensif du recours contre une dĂ©cision d'orientation de la CDAPH. En vertu du principe selon lequel la personne handicapĂ©e "doit pouvoir bĂ©nĂ©ficier de la continuitĂ© de sa prise en charge", l'association gestionnaire de la structure doit poursuivre l'accueil de l'intĂ©ressĂ©, jusqu'Ă  la dĂ©cision prise sur le recours exercĂ© devant le TCI TGI Dijon, 6 oct. 2015. Une hypothĂšse permet toutefois de faire appliquer la dĂ©cision d'orientation de la CDAPH, malgrĂ© le recours le juge saisi pourrait en effet ordonner l'exĂ©cution provisoire de cette dĂ©cision, le temps que les juridictions aient dĂ©finitivement statuĂ©, s'il l'estime nĂ©cessaire et compatible avec la nature de l'affaire C. pr. civ., art. 515. Cela peut notamment ĂȘtre le cas lorsque l'Ă©tat de l'enfant s'est aggravĂ© entre le moment oĂč la CDAPH s'est prononcĂ©e et celui oĂč le recours est examinĂ© en premiĂšre instance. Lever les freins aux recours "Éviter les ruptures de parcours" est Ă©galement le point "primordial" de cette dĂ©cision relevĂ© par BĂ©nĂ©dicte Kail. Qui se fĂ©licite de cet arrĂȘt sur un second point il "peut permettre de lever les freins que pourraient avoir certaines familles Ă  faire recours". En effet, des parents peuvent abandonner l'idĂ©e de contester une dĂ©cision d'orientation qu'ils jugent mal adaptĂ©e Ă  leur enfant, dans la crainte que celui-ci se retrouve sans aucune solution. Ils peuvent donc dĂ©sormais se rassurer la contestation de l'orientation assurera le maintien de l'enfant dans sa structure d'accueil actuelle, le temps que le litige soit rĂ©glĂ©. Notons Ă  cet Ă©gard que le recours ne concerne que la dĂ©cision de la CDAPH en cause. Si la commission prend une autre dĂ©cision dĂ©signant un Ă©tablissement ou service en mesure d'accueillir l'enfant, avec laquelle les parents sont en dĂ©saccord, ils devront former un autre recours. Attention toutefois Ă  l'accumulation des actions en justice qui pourrait bloquer l'Ă©volution de la prise en charge de l'intĂ©ressĂ©. Sans compter que la personne qui agit en justice de maniĂšre dilatoire ou abusive peut ĂȘtre condamnĂ©e Ă  une amende de 3 000 € maximum, dommages-intĂ©rĂȘts non compris C. pr. civ., art. 32-1. De telles hypothĂšses devraient toutefois ĂȘtre rares. Le refus de rĂ©intĂ©gration de l’enfant En corollaire de la survie de l’orientation en cours, l’établissement ou le service d’accueil est donc tenu de maintenir la prise en charge de la personne handicapĂ©e – ou, comme en l’espĂšce, de le rĂ©intĂ©grer -, dans l’attente de la dĂ©cision dĂ©finitive des juges. A dĂ©faut, il contrevient Ă  l’article L. 241-9 du CASF qui pose le principe de l’effet suspensif du recours intentĂ©, par la personne handicapĂ©e ou son reprĂ©sentant lĂ©gal, contre une dĂ©cision d’orientation de la CDAPH. Le refus du maintien ou de la rĂ©intĂ©gration de l'intĂ©ressĂ© Ă  ce titre prĂ©sente donc un caractĂšre fautif. Et cette faute est de nature Ă  engager la responsabilitĂ© civile de la structure, au titre de l’article 1240 du code civil. Lequel dispose que "Tout fait quelconque de l'homme, qui cause Ă  autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivĂ© Ă  le rĂ©parer". En consĂ©quence, la structure pourrait ĂȘtre condamnĂ©e Ă  verser des dommages et intĂ©rĂȘts Ă  la personne handicapĂ©e ou sa famille. Et c'est par ce "bĂąton" qu'on pourra - si nĂ©cessaire - Ă©viter les ruptures de parcours, estime BĂ©nĂ©dicte Kail. L'impact pour les gestionnaires est donc "Ă  Ă©valuer", analyse pour sa part l'Unapei. Ainsi, en l’espĂšce, la requĂȘte des parents demandant rĂ©paration - par l'association gestionnaire de l'Institut rĂ©gional des jeunes sourds ayant refusĂ© de rĂ©intĂ©grer l'enfant - du prĂ©judice moral rĂ©sultant de la dĂ©scolarisation de leur fille pendant 2 ans, doit donc trouver une rĂ©ponse positive en application de l'article 1240 du code civil. Une position partagĂ©e Dans la mĂȘme veine, la HALDE remplacĂ©e par le DĂ©fenseur des droits s’était dĂ©jĂ  positionnĂ©e en 2008 sur l'effet suspensif des recours intentĂ©s contre les dĂ©cisions d'orientation de la CDAPH DĂ©c. HALDE n° 2008-169, 7 juill. 2008. Elle a considĂ©rĂ© que, par application de l’article L. 241-9 du CASF, le recours formĂ© par les parents Ă  l’encontre de la dĂ©cision de la commission dĂ©partementale de l’éducation spĂ©ciale ancienne CDAPH qui orientait leur enfant en classe d’intĂ©gration scolaire CLIS - alors qu'il Ă©tait scolarisĂ© dans une Ă©cole maternelle publique dans le cadre d'un projet d'intĂ©gration - "avait pour effet de rendre cette dĂ©cision inapplicable, dans l’attente de la dĂ©cision du TCI". En revanche, la dĂ©cision de la commission rendue prĂšs d’un mois plus tard et maintenant l’enfant en classe ordinaire avec une auxiliaire de vie scolaire AVS Ă©tait immĂ©diatement opposable Ă  l’inspecteur d’acadĂ©mie. C'est donc Ă  tort que ce dernier a refusĂ© d’accueillir l’enfant en classe ordinaire. Par ailleurs, la HALDE soulignait que le refus de l'inspecteur d'acadĂ©mie de scolariser un enfant en raison de son handicap - droit pourtant accordĂ© par la loi C. Ă©ducation, art. L. 111-2 et L. 112-1 - constitue une discrimination au sens de l'article 432-7 du code pĂ©nal, punie de 5 ans de prison et 75 000 € d'amende. Le revers de la mĂ©daille L'arrĂȘt du 19 janvier est donc une bonne nouvelle pour les enfants et adultes handicapĂ©s dĂ©jĂ  pris en charge. En cas de dĂ©saccord portant sur une dĂ©cision d'orientation ultĂ©rieure en Ă©tablissement ou service, les intĂ©ressĂ©s doivent en effet ĂȘtre maintenus dans la structure d’accueil, le temps que le juge statue sur leur recours. Il s’agit toutefois d’une solution Ă  double tranchant. En effet, les places ne se libĂ©rant pas, les personnes qui bĂ©nĂ©ficient d’une dĂ©cision d’orientation de la CDAPH mais qui n’ont pas trouvĂ© de place dans les Ă©tablissements ou services correspondant Ă  leurs besoins sont destinĂ©s Ă  rester sur liste d’attente, pour une durĂ©e plus longue que prĂ©vue
 En effet, bien que des crĂ©dits soient rĂ©guliĂšrement allouĂ©s pour crĂ©er de nouvelles places en Ă©tablissements et services pour accueillir les personnes handicapĂ©es Circ. n° DGCS/SD5C/DSS/CNSA/2016/126, 22 avr. 2016, l’offre existante ne permet pas, Ă  l’heure actuelle, de proposer une solution d’accueil Ă  chacun. La situation Ă©tant d'autant plus dĂ©licate pour les enfants autistes
 Comme le dĂ©plore DaniĂšle Langloys, l'offre en matiĂšre de prise en charge de ces derniers est "trĂšs maigre, voire inexistante dans certains dĂ©partements". L'impact de cette dĂ©cision pour l'État est "Ă  Ă©valuer", selon l'Unapei, puisqu'elle "pointe les difficultĂ©s dans le manque de solutions adaptĂ©es". Laquestion de la maman : Je suis une jeune maman de 26 ans. Je vous contacte car je suis dĂ©semparĂ©e. Mon fils est nĂ© avec des problĂšmes de santĂ©, il a Ă©tĂ© opĂ©rĂ© Ă  sa naissance d'un Plus que 68 signatures pour que cette pĂ©tition soit diffusĂ©e dans la newsletter MesOpinions ! MignĂ© Auxances, le 19 dĂ©cembre 2011 Monsieur le PrĂ©fet, Quatre mois aprĂšs la rentrĂ©e, des Ă©lĂšves reconnus handicapĂ©s par la MDPH, scolarisĂ©s en classe ordinaire, sont toujours dans l'attente de la prĂ©sence Ă  leur cĂŽtĂ© de l'Auxiliaire de Vie Scolaire comme stipulĂ© dans leur Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation notifiĂ© par la MDPH. Les consignes du Ministre de l'Education Nationale, rappelĂ©es dans la circulaire du mois de juillet 2011, Ă©taient claires et sans ambiguĂŻtĂ© tous les besoins en AVS devaient ĂȘtre pourvus Ă  la rentrĂ©e 2011. Dans l'AcadĂ©mie de Poitiers, plusieurs enfants handicapĂ©s, ayant une notification de la MDPH pour un accompagnement par une AVS, se sont vu refuser l'affectation de cette AVS par l'Inspection AcadĂ©mique. Ces enfants ne peuvent pas suivre correctement en classe sans le soutien d'une auxiliaire auprĂšs d'eux. Bien sur, cela n'est pas sans consĂ©quences, les efforts que ces enfants fournissent au quotidien sont trop importants, s'en suit une fatigue croissante, voire une dĂ©gradation de leur Ă©tat de santĂ©. Auparavant aidĂ©s efficacement par l'AVS, ils ne comprennent pas pourquoi cet accompagnement est interrompu. De cette situation dĂ©stabilisante, ces enfants peuvent apprendre en fait Ă  se forger des reprĂ©sentations peu rassurantes du cadre institutionnel et de ses reprĂ©sentants. Ils sont aussi amenĂ©s Ă  douter de la volontĂ© rĂ©elle des Institutions Ă  les intĂ©grer en classe normale, constatant qu'on ne leur accorde pas les amĂ©nagements dont ils ont besoin compte tenu de leur handicap. Leur Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation est de fait non appliquĂ© et leur parcours scolaire en pĂ©ril. Sur le plan psychologique certains se retrouvent en souffrance et font face Ă  une dĂ©motivation importante accompagnĂ© d'un fort sentiment d'injustice. Dans l’immĂ©diat, pour sortir de cette situation actuelle intenable pour ces enfants, considĂ©rant ‱ l'article L. 112-1 du code de l'Ă©ducation ... le service public de l'Ă©ducation assure une formation scolaire ... aux enfants ... prĂ©sentant un handicap ou un trouble de la santĂ© invalidant. Dans ses domaines de compĂ©tence, l'Etat met en place les moyens financiers et humains nĂ©cessaires Ă  la scolarisation en milieu ordinaire des enfants ..." ‱ Les dĂ©clarations de M. Sarkozy, PrĂ©sident de la RĂ©publique, qui assurait en juin 2011 lors de son allocution je demande Ă  Luc CHATEL de prendre toutes les dispositions nĂ©cessaires pour dĂ©ployer rapidement ce nouveau mode d'accompagnement dans le souci de la qualitĂ©, de la stabilitĂ©, et de la visibilitĂ© pour les parents. C'est une prioritĂ© majeure de la rentrĂ©e de septembre 2011
 », Chaque personne handicapĂ©e doit pouvoir avoir un projet et se rĂ©aliser au travers de ce projet. C'est la rencontre d'une volontĂ© individuelle et de la volontĂ© collective de la Nation et cela est notre devoir de donner Ă  chacun les moyens de ce projet. », source nous vous demandons que soient prises des mesures rapides et concrĂštes au niveau du Rectorat pour permettre la rĂ©munĂ©ration de ces contrats d’Auxiliaires de Vie Scolaire afin que les responsables de la communautĂ© Ă©ducative de l’AcadĂ©mie de Poitiers puissent procĂ©der au recrutement de ce personnel accompagnant. Nous, parents, enseignants, AVS-EVS, personnels de l'Ă©ducation nationale, professionnels de l'enfance, professionnels du milieu mĂ©dical, citoyens, refusons cette injustice et soutenons la pĂ©tition initiĂ©e par le Collectif HandICapEcole, pour
\nles parents peuvent ils refuser une avs
labsence de l’AVS n’est pas une raison suffisante pour refuser la scolarisation d’un Ă©lĂšve handicapĂ© (cf. circulaires n° 2003-093 du 11 juin 2003 et n° 2004-117 du 15 juillet 2004). La notification de la MDPH prĂ©voit un accompagnement de mon enfant au restaurant scolaire : dois-je payer les frais de repas de l’AVS ?
Qu’on les appelle auxiliaire de vie AVS quand elles sont diplĂŽmĂ©es aidants professionnels, ou encore aides Ă  domicile, elles assurent des missions indispensables qui permettent Ă  une personne en perte d’autonomie ou dĂ©pendante de rester Ă  son domicile quand les proches ne peuvent pas l’aider au quotidien. Pourtant, elles ne sont pas toujours considĂ©rĂ©es par les bĂ©nĂ©ficiaires » ou les entend parfois certains bĂ©nĂ©ficiaires ou certains proches aidants parler des auxiliaires de vie en disant d’elles qu’il s’agit de la femme de mĂ©nage » alors que leurs missions sont destinĂ©es Ă  pallier les actes essentiels de la vie d’une personne. Il y a nĂ©anmoins des tĂąches qu’elles ne peuvent et ne doivent pas faire. Alors, qu’en est-il exactement ?Les auxiliaires de vie sont des aides Ă  domicile et non des ouvriĂšres d’entretien ou de rĂ©paration. Elles relĂšvent du social et non du mĂ©dical. Leur mission auprĂšs des publics ĂągĂ©s Ă  domicile est entourĂ©e par une rĂ©glementation. Aussi, pour permettre le maintien Ă  domicile d’une personne ĂągĂ©e dans les meilleures conditions possibles, il est important que les diffĂ©rents acteurs la personne, l’aidant, les proches connaissent leurs missions afin de mettre en place un plan d’aide adaptĂ© et de faire appel aux services du logement il s’agit de l’entretien courant des espaces de vie de la personne sols, poussiĂšres, sanitaires, cuisine, vaisselle, lit, linge, vitres, poubelles
 ;Courses/repas les aides Ă  domiciles peuvent effectuer des petites courses courantes Ă  pied jusqu’à 5 kg, la prĂ©paration du repas et l’aide au repas ;L’hygiĂšne toilette et douche, habillage, protections, apposition de crĂšmes hydratantes ou de rasage ;Bas ou chaussettes de contention elles peuvent les retirer le soir ;Prise de mĂ©dicaments s’il y a un pilulier prĂ©parĂ© par une infirmiĂšre, les aides Ă  domicile peuvent inciter la personne ĂągĂ©e Ă  prendre son traitement en lui mettant dans la main et en vĂ©rifiant qu’elle l’a pris ;DĂ©marches administratives les aides Ă  domicile peuvent passer un appel, prendre un rendez-vous mĂ©dical, Ă©crire un courrier simple ;Aide aux dĂ©placements/transferts elles peuvent aider la personne dans ses dĂ©placements Ă  l’intĂ©rieur du domicile et Ă  l’extĂ©rieur et assurer les transferts du lit au fauteuil par exemple. Elles peuvent aussi accompagner la personne pour des sorties de proximitĂ© ;Communication les aides Ă  domicile ont aussi un rĂŽle social important au travers des discussions et des Ă©changes qu’elles ont avec la personne dĂ©pendante, d’autant plus quand elle est isolĂ©e ou qu’elle ne sort plus sans aide. Elles sont souvent le seul lien avec l’extĂ©rieur, limitant ainsi le sentiment d’isolement et l’ que les aides Ă  domicile ne peuvent pas faireEntretien du logement ce qui n’est pas Ă  hauteur d’homme murs, plafonds, armoires, vitres
. Monter sur une Ă©chelle. DĂ©placer des meubles lourds gaziniĂšre, rĂ©frigĂ©rateur, machine Ă  laver
. Tout ce qui est Ă  l’extĂ©rieur du domicile dĂ©pendances, jardin
 ;Courses/repas les courses importantes au-delĂ  de 5kg et qui ne peuvent pas ĂȘtre faites Ă  pied ;L’hygiĂšne tout ce qui relĂšve du soin, apposition de crĂšme sur ordonnance, pose d’attelle, de sonde, rasage des parties intimes, manucure, pĂ©dicure ;Bas ou chaussettes de contention les aides Ă  domicile ne peuvent pas les mettre ni les bandes de contention ;Prise de mĂ©dicaments elles ne peuvent pas faire le pilulier ni administrer elles-mĂȘmes les mĂ©dicaments ;DĂ©marches administratives tout ce qui touche Ă  l’argent. Retrait d’espĂšces, transferts d’argent, gestion des comptes
 ;Transferts seulement s’il y a du matĂ©riel technique type lĂšve malade pour les personnes alitĂ©es dĂ©pendantes ;Et tout ce qui n’est pas liĂ© directement Ă  la personne elles n’ont pas vocation Ă  s’occuper du mĂ©nage, du linge, des repas, de la vaisselle, des courses ou toute demande qui Ă©manerait d’une personne qui habite chez le ou la bĂ©nĂ©ficiaire. Les aides Ă  domicile n’ont pas non plus vocation Ă  s’occuper des de ces missions, il y a aussi une question de bon sens. En fonction du temps imparti, elles ne pourront pas tout faire. Elles s’attacheront Ă  faire le plus important. Faut-il rappeler que le mĂ©nage ne fait pas partie des 10 actes essentiels de la vie courante ? Merci de vous connecter pour publier une discussion. Se connecterRessourceDu 25/05/2022 au 28/10/2022Nouvelle tournĂ©e pour la Caravane Tous Aidants » en 2022 Lieu 24 Ă©tapes dans toute la France En savoir plusDu 02/06/2022 au 24/01/2023Solutions Aidants des rendez-vous thĂ©matiques d'une heure pour vous apporter conseils et solutions pratiques Lieu Toute la France En savoir plusDu 18/10/2021 au 31/12/2022Allo Alzheimer, une antenne d'Ă©coute pour vous Antenne d'Ă©coute tĂ©lĂ©phonique En savoir plus Lescommunes peuvent obtenir une aide du fonds « publics et territoires » (circulaire CNAF n° 2015-004). Mais, comme l'a rappelĂ© le tribunal administratif de Rennes dans une dĂ©cision du 30 Bonjour, Pouvez vous me dire si vous avez rĂ©ussi Ă  obtenir une AVS pour votre enfant qui a une dyslexie sĂ©vĂšre ? Si oui dans quelle dĂ©partement ĂȘtes vous? Merci pour vos rĂ©ponses. Quote Topic starter PostĂ© 03/11/2016 551 REFLO75 Membre de confiance Bonjour, voir les Ă©changes "assistance scolaire", mon fils est "poly troubles" multidys sĂ©vĂšre + TDA sans H + prĂ©coce Pour un AVS, nous avons attendu plus d'un an de scolaritĂ© trĂšs difficile en CP, voir les calendriers d'attribution d'AVS si urgence faire appel Ă  une cellule spĂ©cialisĂ©e au niveau du rectorat mais on l'apprend tardivement quand les enfants cachent leurs difficultĂ©s et que les professionnels freinent votre volontĂ© de faire bouger les modalitĂ©s d'encadrement scolaire. Nos dĂ©marches sont restĂ©es sans suites dĂšs l'entrĂ©e en maternelle, l'annĂ©e de moyenne section aprĂšs de nombreuses dĂ©marches obtention d'un suivi en orthophonie et au CMP, mĂ©decine scolaire exsangue et professionnels de l'EN dans l'attitude du formĂ© avec l'idĂ©e de l'Ă©lĂšve type et pas dans l'adaptation face Ă  une patate chaude on la passe au voisin cela Ă©vite de se brĂ»ler les mains ! S'appuyer sur les structures existantes "mission acadĂ©mique Ă  la scolarisation des Ă©lĂšves en situation de handicap" la difficultĂ© est d'obtenir la qualification de handicap de votre enfant du fait du protocole nĂ©cessitant des justificatifs mĂ©dicaux dans un dĂ©lai restreint pour la famille c'est trĂšs compliquĂ© de trouver des RV auprĂšs notamment de centre rĂ©fĂ©rent des troubles de l'apprentissage dans des dĂ©lais raisonnables minimum 2 ans. On ne peut pas qualifier un enfant de DYS sans qu'il n'ai un retard scolaire en CE2 dans les pratiques actuelles pour la reconnaissance de handicap, donc la famille qui dĂ©piste son enfant avant les professionnels est considĂ©rĂ©e comme hors norme nous sommes une famille atypique par rapport au fonctionnement mental de 95% de la population ! On me qualifie de sentinelle et mon mari de lunaire, mais que font les autres parents attentistes du signal d'alarme censĂ© ĂȘtre envoyĂ© par des professionnels rencontrĂ©s PMI, mĂ©decin scolaire, professeur des Ă©coles, orthophonistes, pĂ©dopsy ... ?. Vous devez vous appuyer sur ce qui est pris en compte par le systĂšme notamment le rĂ©fĂ©rent scolaire puisque les procĂ©dures administratives sont ce quelles sont ! Notre expĂ©rience est de constater que le milieu mĂ©dical n'arrĂȘte pas de vous parler du dĂ©ni des parents et de la famille par rapport Ă  la situation de leur enfant "diffĂ©rent". On culpabilise la mĂšre de son investissement pour protĂ©ger sa progĂ©niture pour moi c'est naturel, c'est primitif mais je prĂ©fĂšre ĂȘtre comme les indiens capables de regarder leur environnement et sentir arriver un tsunami n'ayant pas de technologie pour les avertir du danger, les sciences sont basĂ©es sur des expĂ©riences et l'accumulation de faits, la notion de mĂ©moire collective est importante donc la place de l'histoire de l'humanitĂ© est partie intĂ©grante de l'individu, le pressenti est souvent occultĂ© dans une civilisation dite "moderne". Moi je vous dis qu'il y a un dĂ©ni des professionnels de santĂ© et de l'Ă©ducation nationale quand ils ont en face d'eux un enfant qui ne rĂ©pond pas Ă  la norme "Ă©lĂšve type". Ils sont dans il va Ă©voluer donc lui laisser le temps combien de temps faut-il attendre pour agir ?. Dans la nature, vous voyez un arbre plus sensible au vent que les autres vous le tutorez pour qu'il pousse droit si c'est ce qui importe Ă  l'organisation du paysage mais est-ce primordial ? On le conduit mĂȘme si on sait qu'il est unique et peut-ĂȘtre qu'il arrivera Ă  compenser sa primo fragilitĂ© par rapport aux autres. Je m'interroge sur le mot "Ă©ducation" dans notre sociĂ©tĂ© surtout avec des AVS pas toujours formĂ©s aux diffĂ©rences des enfants qu'ils auront Ă  aider avec chacun un environnement familiale diffĂ©rent notamment adapter l'accompagnement Ă  la dysphasie, dyspraxie, dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dysgraphie, troubles associĂ©s Ă  des degrĂ©s trĂšs variables . J'ai rĂ©ussi Ă  obtenir un AVS en temps mutualisĂ© toujours en dĂ©calĂ© par rapport Ă  la rentrĂ©e de septembre car il y a souvent des problĂšmes de gestion purement financiĂšre des contrats de travail CDD avec difficultĂ©s de renouvellement mĂȘme si l'AESS est compĂ©tent et investi, ne pas oublier le facteur humain, congĂ©s maladies, absences justifiĂ©es rarement remplacĂ©es, ... en thĂšorie 9 h par semaine l'aprĂšs-midi dans un contexte particulier dĂ©jĂ  un AVS dans l'Ă©cole et dĂ©part de l'Ă©lĂšve qui bĂ©nĂ©ficiait de la part de temps agent l'annĂ©e d'avant avec le rectorat de Paris 75, annĂ©e scolaire de CE1 en 2013-2014 dans un contexte ou j'Ă©tais une "guerriĂšre" et avait l'Ă©nergie pour travailler Ă  temps plein, faire appel aux associations de parents d'Ă©lĂšve, aux Ă©lues locaux puisqu'il fallait gĂ©rer les contradictions entre l'agenda imposĂ©s par les modifications d'activitĂ©s de l'Ă©cole, crĂ©neaux piscines, ARE, RV CMP pĂ©dopsy & psychomotricitĂ©, paramĂ©dicaux orthophoniste + ergothĂ©rapeute, rĂ©diger des courriers d'indignation auprĂšs des diverses personnalitĂ©s censĂ©es coordonner et aider mon fils Ă  entrer dans les apprentissages scolaires et surtout devenir un Ă©lĂšve pour lui construire sa place dans cette sociĂ©tĂ©. Je continue Ă  regarder le fonctionnement des recrutements d'AVS pour d'autres enfants en difficultĂ©s scolaires dans l'ancienne Ă©cole de quartier ce n'est pas encore facile pour beaucoup de familles les entretiens d'embauche ayant lieu aprĂšs la rentrĂ©e donc en dĂ©calĂ© par rapport aux besoins. Mon fils n'est plus dans le circuit classique de l'Ă©cole publique et de ce fait en dehors du systĂšme avec pour consĂ©quence plus la possibilitĂ© de faire partie d'une association de parents d'Ă©lĂšve Ă  moins de la crĂ©er, vous vous placez en dehors du fonctionnement classique de l'Ă©cole reconnue par l'EN donc l'Ă©tat et les institutionnels, c'est une exclusion forcĂ©e pour tenter de protĂ©ger votre famille. Je m'Ă©tais promise de toujours tenter d'ĂȘtre dans le moule "sociĂ©tale" mais il y a un moment ou les valeurs fondamentales de l'Ă©ducation pour tous ne sont plus en adĂ©quation avec ce que votre enfant subit au quotidien au sein d'une Ă©cole dite ouverte Ă  tous donc publique. Vous avez un rĂ©flexe de survie. Vous cherchez ce qui pourrait lui apporter du plaisir Ă  aller Ă  l'Ă©cole. La classe de 30 Ă©lĂšves dont plus d'un quart est dĂ©jĂ  en difficultĂ©s scolaires n'est plus vivable au quotidien. Les parents pour diverses raisons font confiances au systĂšme qui n'apporte plus les clefs pour atteindre les objectifs d'obtenir un niveau acquisition des apprentissages pour toute une classe d'Ăąge. Je constate que les parents qui se donnent les moyens de compenser les lacunes de leur enfant par rapport aux acquisitions sont nombreux en constatant l'augmentation du nombre de cours particuliers et stages en tout genre. N'est-ce pas un problĂšme de responsabilitĂ© collective de rĂ©pondre Ă  la question comment aider les enfants Ă  grandir dans une sociĂ©tĂ© de plus en plus clivante sans outils de compensation pour tous ? Comment ne pas avoir aussi le droit de penser que chacun est diffĂ©rent du fait de son unicitĂ© et que les parents ne doivent pas systĂ©matiquement ĂȘtre obligĂ©s de devoir Ă©tiqueter leur enfant d'"handicapĂ©" pour obtenir une adaptation des ĂȘtres humains figĂ©s dans une fonction. Le plus difficile pour les parents d'un enfant "diffĂ©rent" est de comprendre ce qu'ils sont en droit de demander et auprĂšs de qui et dans quels dĂ©lais ? Alors Ă  vous d'obtenir le mieux pour votre enfant dans un fonctionnement qui n'est pas toujours le mĂȘme d'un territoire Ă  l'autre dotations dĂ©partementales en primaire, rĂ©gionales au collĂšge.... Ne lĂąchez rien mais attention mĂ©nagez vous aussi pour maintenir votre santĂ© car il faut tenir sur la durĂ©e l'Ă©cole est obligatoire actuellement jusqu'Ă  16 ans donc depuis la maternelle il faut se projeter sur 13 annĂ©es de dĂ©marches avec des calendriers de renouvellement annuel pour l'EN avec ou sans GEVASCO, biannuel pour la MDPH donc suivi mĂ©dical et/ou paramĂ©dical en consĂ©quence du constat de l'Ă©volution en bien ou en pire de votre enfant. Profitez au maximum des moments de joie et tentez de trouver des exutoires comme le sports ou des activitĂ©s plaisirs en famille pour avoir les ressources notamment physiques et morales nĂ©cessaires au soutien de vos choix de vie pour aider votre enfant Ă  s'Ă©panouir et se rĂ©vĂ©ler. REFLO75 RĂ©pondreQuote elauvity Membre Ă©minent bonjour moi ma fille est en 3eme et nous avons demandĂ© un avs en ce2 jusque en 5eme et nous l'avons toujour eu et nous somme dans le 06 RĂ©pondreQuote sylvie-cyrille Membre estimable bonjour ma fille est en 2nde ES et elle a une AVS depuis le 6eme. nous sommes en Bretagne 29 RĂ©pondreQuote
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